Il est arrivé chez moi sans crier gare, à la place de ' Chartreuse de Parme '. Le rosiériste Delbard a réparé l'erreur et j'ai pû conserver ce rosier jaune d'or bordé de rouge, semi-double, qui fâne jaune pâle. C'est une obtention de 1965.

Il pousse près du grimpant ' Plume d'ange de Meilland '. J'attends d'avoir un coup de coeur pour un obélisque, qui les unirait dans leur conquête du sommet. Leur association de coloris ne va pas de soi, certes, mais les iris tout proches arrangent la scène. Eux aussi n'étaient pas attendus. Je les avais sélectionnés bleus chez Jardiland, pour accompagner le rosier pourpre ' Chartreuse de parme ' et les voilà bicolores...

C'est devenu mon " massif surprise ", d'autant que 4 autres rosiers plantés à leur côté m'ont laissée perplexe par leur coloris. Je les dévoilerai lorsqu'ils fleuriront.

C'est la première rose à fleurir cette année. Jusqu'à présent c'était la rose panachée Concert de Poulsen qui offrait la première rose. Cet hiver, l'abattage des chênes près du massif fleuri sud-est a permis aux rosiers de bénéficier de plus d'ensoleillement.

Un grand lézard qui se réchauffe sur une pierre, voilà l'animal en fonte absent jusqu'à présent au jardin ! Il a croisé ma route à Carcassonne. Le voilà narguant Bacchus dans le potager.

Cet article est le prétexte à mettre en valeur la discrète floraison du houx mâle situé derrière Bacchus, chez le voisin. L'odeur miélée attire tous les butineurs à la ronde. Ca bourdonne de concert.

C'est une grande chance pour les fraisiers, framboisiers, cassissiers, groseillers et mûrier de mon potager qui sont en pleine floraison à son pied. Ils bénéficient ainsi de la présence de toutes ces abeilles généreuses qui ne manquent pas de polliniser mes petits fruitiers.

Pour donner deux étonnantes floraisons à un simple noisetier, rien de plus simple que de planter une clématite à grande fleur à son pied. Le feuillage de l'arbre ombrage son pied. De plus, la liane qui atteindra 3,5 mètres à maturité, trouve un support suffisamment vigoureux.

La clématite Daniel Deronda possède des sépales pointus bleu-outremer ornés d'une ligne centrale qui s'éclaircit au fur et à mesure que la fleur s'panouit. Les étamines sont blanches.

C'est une obtention de Charles Noble de 1882.

Enfin ! Je peux boire les cafés du matin et de 13 heures en comtemplant le jardin, confortablement assise dans un fauteuil Adirondack. C'est un de mes petits plaisirs quotidiens, et si mon homme me rejoint c'est encore mieux :) 

Cette terrasse couverte est un lieu de vie dès les beaux jours. On y prend les repas, les cafés en faisant la causette (!); on lit et somnole dans le hamac ou sur les chaises longues. C'est aussi un fumoir abrité du soleil et de la pluie.

Les deux azalées rouges fleurissent de concert en avril jusqu'à début mai.

' Marlène Vuyk ' possède feuillage persistant vert foncé qui s'étoffe après la floraison.

Alors que ' Marlene Vuyk ' est d'un rouge framboise, ' Hot Shot ' est rouge vif. Cette azalée présente un attrait supplémentaire : son feuillage persistant panaché de blanc se teinte légèrement de rouge en hiver. Plantée en octobre 2012, elle se développe rapidement.

Chaque année en avril, la première azalée japonaise à se couvrir de fleurs est ' Blue Danube '. Le feuillage est persistant, vert clair dans mon jardin. Le port est étalé, couvrant bien le sol.

Le mauve de ses fleurs est réhaussé par la floraison lumineuse de l'euphorbe des bois. En mai, sa floraison est terminée.

Pour plus de renseignements sur cette réserve naturelle où l'on peut s'adonner à la pêche, à la marche, cliquer sur le lien " lac de Villeneuve de la Raho ".

Belle étendue de phacélies, parsemées de temps en temps de coquelicots et de centaurées.

Le challenge a été relevé ! Garer 3 voitures à Collioure un premier mai ! La patience est la mère de toutes les vertus, non ?

Retour aux origines méditerranéennes. Nous avons fait le plein de soleil, de vent, d'amitié et de rires.

Je rentre heureuse d'avoir retrouvé mes amis. Nous avons passé le 1er mai à Collioure. Les criques de la côte Vermeil ( plage de Paulilles ) ont à cette saison l'intimité qui fait défaut à nos grandes plages landaises.

Les enfants ont gravi plus d'une fois les rochers, alors que les adultes sont restés tranquillement à l'ombre des pins.