Certains rosiers sont étonnants car la seconde floraison diffère celle de mai/juin. En voici quelques exemples.

D'abord le petit grimpant Concert de Poulsen, dont la floraison de fin juillet/août offre des roses plus petites et d'un rose plus doux.

Cette seconde floraison est noyée dans celles des origans et des fenouils.

Les roses de fin juillet de ' Breath of Life ' de David Austin gagnent en douceur, leur couleur ambre se tentant d'un voile rosé.

Un léger rafraichissement de l'air et ' Breath of Life ' se transforme, pour mon grand plaisir.

Enfin ' Winchester Cathedral ' de David Austin offre fin juillet des roses plus légères, d'un blanc légèrement rosé.

Les rosiers ont offert de belles floraisons en juillet.

Elles ont fleuri en ce mois de juillet beau et chaud. Survolez l'image avec la souris pour connaître le nom de la rose.

La liatride est une plante vivace, à feuillage caduc, de la famille des astéracées.

Elle accepte de pousser et se multiplie dans mon sol sableux, à condition de l'exposer au soleil.

Son violet lumineux se marie harmonieusement avec la plupart des plantes du jardin.

Il existe des petits paradis sur terre. En gironde, le port de plaisance de Biganos qui donne un accès au bassin d'Arcachon en fait partie.

Les services horticoles de Mimizan ont un talent indéniable dans la création de massifs floraux harmonieux. C'est une source d'inspiration inépuisable. Ils utilisent avec bonheur la diversité des graminées pour jouer avec le vent.

Les massifs ombragés font la part belle aux hydrangéas. En contraste avec les grosses feuilles arrondies des hortensias, les touffes des feuillages des glaïeuls s'élancent en hauteur. La variété de glaïeuls violets sélectionnée est la même que celle de mon jardin. Moment de satisfaction...

Je me suis avancée du coeur d'un gros rhododendron pour découvrir quel animal faisait bruisser les feuilles mortes. Une couleuvre ? Mais non ! Un jeune merle encore duveteux.

Quelle réputation injustifiée fait-on aux glaïeuls ! Des fleurs de grand-mère. Et de fait, ils disparaissaient des jardins. Pourtant ils créent des verticales colorées tandis que leurs feuilles dressées sont une alternative aux graminées. 

Comment résistez-vous encore aux nouveaux coloris que proposent les horticulteurs ? La floraison est courte et l'espace occupé étant restreint, on peut se permettre des bouquets vivement colorés disséminés dans le jardin. Certains préfèrent les cultiver, plus classiquement, dans le potager.

J'ai d'abord essayé des glaïeuls blancs, restant prudente. Ensuite, j'ai osé la fleur blanche bordée de rose vif pour enfin planter des glaîeuls pourpre-violacé.

Je suis conquise ! Sans surprise, car le glaïeul est de retour dans les jardins. C'est " tendance "  :)

Les glaïeuls blancs ont des boutons de fleurs vert-pastel, puis la fleur se teinte d'un rose délicat. A maturité, la fleur est blanc immaculé et ses étamines gardent une couleur violacée pastel.

Le glaïeul Priscilla est blanc ourlé de rose vif. Il éclaire mon massif ombragé.

Les delphiniums ne poussent pas dans mon sol sableux, les glaïeuls les remplaceront !

Malheureusement, les images suivantes ne retranscrivent pas la richesse des reflets pourprés de ces glaïeuls violets. La bonne surprise, c'est qu'ils arborent l'exacte couleur des lys voisins.

Je recherchais un rosier grimpant qui supporte la mi-ombre, qui se contente d'un sol pauvre et dont la floraison est remontante. Le rosier ' New Dawn ' remplit mes critères. Le voici installé dans la partie sous-bois du jardin, et 2 ans après il me gratifie de ses premières roses délicates.

Il côtoie rhododendrons, azalées et camélia. Ce n'est pas un emplacement classique.

Ce beau lys d'un jour arrivé par surprise dans le potager est une hémérocalle rouge. Elle côtoie, avec bonheur, un grand pied de fenouil, un phlomis fruticosa et une sauge arbustive rouge.