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Le potager m'offre le plaisir de planter des haies basses fleuries sur son pourtour.
La haie potagère sud est plantée de 2 véroniques arbustives (Hébé) dont une seule fleurit en mai/juin (hebe 'Wiri mist'). Sans taille, elles gardent un port naturel arrondi. 4 rosiers paysagers de Meilland, Meigalpio, à fleurs rouges avec un coeur doré, se fraient un passage à travers les arbustes.
Des nigelles de Damas se ressèment chaque année dans les espaces laissés libres.
Le beau rosier anglais de David Austin, Abraham Darby, ne dépareille pas avec sa douce couleur saumonée.
Avec les beaux jours fin juin, les rosiers rouges sont surmontés par la floraison jaune double des lys asiatiques Fata Morgana alors que les fleurs blanches de l'hébé disparaissent.
Plus loin, les écouvillons rouge-vif du callistémon font écho aux rosiers Meigalpio.
Début juillet, les lys ont terminé leur floraison tandis que les rosiers Meigalpio fleurissent sans discontinuer depuis la fin du printemps. Le relais est assuré par les scabieuses Chile Black qui se ressèment à foison. Bientôt une troisième nuance de rouge apparaitra avec les tomates mûres.
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Cette année j'ai semé un sachet de graines "parterre fleuri", qu'offrait un magazine de jardinage, le long d'une rangée potagère. C'est charmant.
Depuis mai, les floraisons se succèdent et ne manquent d'attirer les insectes butineurs, qui à leur tour fécondent les légumes. Je récolte les graines de ce parterre au fur et à mesure afin de renouveler ce joli tableau l'an prochain.
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Dans le centre de l'île de Bali, les rizières de Jatiluwih.
On peut goûter une boisson spéciale de Jatiluwih : le jus de fruit aux jeunes pousses de riz. Jolie couleur, délicieux rafraîchissement.
Plat indonésien par excellence, le Nasi Goreng est un classique qui revient à moins de 5€.
Il est composé de riz aux légumes et crevettes recouvert d'un oeuf au plat, de brochettes de poulet ou de porc, de chips de crevettes, de croquettes de poulet, et de crudités. On le mange à tout moment de la journée, même pour petit-déjeuner. Chaque repas fut un moment de plaisir gourmand : pour exemple ce plat composé de légumes croquants, de champignons et poulet.
Lorsque le riz a été récolté, ce sont les canards qui sont chargés d'éliminer les nuisibles et qui fument la rizière de leurs fientes. Puis, le canard est servi laqué...
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Le Pura Taman Saraswati, construit dans les années 50, est un sanctuaire aquatique dédié à la déesse de la sagesse, de la science et des arts, mais aussi c'est un lieu de spectacles nocturnes de musique et de danse. Il se situe à l'arrière du restaurant Le Lotus.
La pièce d'eau, couverte de lotus en fleurs, précède la scène de spectacle.
La déesse Déwi Saraswati
Le Barong , qui symbolise le tigre roi de la forêt, danse avec l'aide de 2 hommes.
A la nuit tombée, musiciens de Gamelan et danseurs font découvrir leur art aux touristes.
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La plage de Legian est une plage de sable noir, parcourue par de rapides crabes bleus qui nous défient de leurs grosses pinces, au bord de laquelle quelques warungs (petits resto de plage) faits de bric et de broc proposent de délicieux repas.
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Dans la ville d'Ubud se trouve un parc dépaysant pour nous, touristes occidentaux. C'est la forêt des singes, où les macaques sacrés se promènent librement autour de nous... à moins que ce soit l'inverse. Les vieux mâles sont impressionnants car ils montrent, par leur agressivité envers leurs congénères, leur domination. Côté canines, c'est terrifiant ! Nous n'avons pas recherché le contact avec les occupants du parc : aucune nourriture, pas de lunettes de soleil sur la tête. De la discrétion avant tout.
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L'intérieur du parc est laissé en l'état de jungle, les racines du banian sacré enserre le pont de pierre qui mène à un temple. L'air chaud est saturé d'humidité. La végétation si hautement étagée ruisselle de goutelettes d'eau. Nous oublions que nous sommes dans la ville.
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Je n'ai croisé la tarentule indonésienne qu'à travers une vitre de terrarium, et tant mieux !
En revanche, les araignées suivantes sont assez communes à Bali.
Une belle Argiope aetherea ou araignée croix de St André, dont la morsure, rarissime, n'est pas dangereuse pour l'homme. Son nom lui vient de la croix (stabilisatrice) de soie tissée sur la toile, qui rappelle la forme de croix en X sur laquelle St André fut supplicié.
En arrière-plan, on devine une araignée jaune bien plus grosse : argiope modesta. Vue ci-dessous, en recto et verso.
recto et verso
Et pour finir, Nephila pilipes.
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J'ai visité 2 jardins botaniques, alléchée par la perspective de voir leurs serres d'orchidées. Hélas, ce n'était pas la saison de fleurissement des orchidées ! Mais notre hôtel d'Ubud ( voir article précédent) et son restaurant ( le Lotus ) attenant présentaient une collection des plus belles.
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Ne vous fiez pas à la verdure qui entoure cet hotel de charme. Il est situé en plein centre ville d'Ubud, sur la rue principale. Une fois la porte passée, on pénètre dans un beau jardin dans lequel des bungalows traditionnels balinais sont dispersés. Des fontaines chantent le jour, des papillons volètent. Un havre de paix dans la ville.
Un lit king-size ! Quel confort !
Et une vue sur les toits de la ville...
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Les illustres inconnus sont majoritairement bruns...
Ypthima baldus, papillon commun des zones herbacées.
Lerema accius ou papillon Skipper Clouded habite les grandes herbes.
Mycalesis Persée ou Dingy Bush Brown Butterfly
Taractrocera Archias, Hesperiidae.
Elymnias Hypermnestre ou Common Palm King
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