Voici les roses qui surprennent ( et que je n'ai pas choisies ) mais que j'apprécie avec le temps

Survol des images pour découvrir le nom des roses.

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Et pour achever ce mois de septembre, quelques photos de roses. On ne s'en lasse pas.

Pour encourager la remontée des floraisons, les branches des chênes devront à nouveau être taillées dès l'hiver.

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Encore de belles floraisons de roses.

Cet automne, il y aura un grand chamboule-tout dans les plantations de rosiers, pour mieux assortir les coloris.

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Quelle étrangeté ! Cette petite thomise a un abdomen rempli d'oeufs.

Pas de toile, c'est pourquoi j'ai écarté la probabilité que ce soit une épeire.

Voici un petit arbuste qui accepte de pousser dans un sol pauvre et sableux : le physocarpe à feuille d'obier. Je l'aime lorsqu'il arbore un feuillage pourpre, mais il existe doré.

Il est particulièrement beau lorsque un rayon de soleil traverse son feuillage. La floraison, digne d'intérêt, est secondaire dans la décision d'achat.

Je l'utilise en faire valoir, pour colorer un massif.

Idéaux en bord de mer, même en sol pauvre et sableux, ce sont les abélias. En climat doux, la floraison dure depuis juin jusqu'aux premières gelées.

J'en use, et abuse, dans mon petit jardin landais.

Tout d'abord le nain ' Confetti ' que je ne laisse pas fleurir car je le taille en boule. Le même, que je n'ai pas taillé, a développé de longues tiges au feuillage non panaché : l'abélia grandiflora a repris le dessus. 

Puis, le violacé ' Edward Goucher ' constitue un fond de massif qui a belle allure. Ses fleurs discrètes colorent joliment l'arbuste.

Enfin l'abélia chinensis dont la floraison blanche dégage un parfum suave.

Je me suis amusée à prendre des photos avec un téléobjectif. Incroyable combien les distances sont raccourcies !

L'envers du décor se dévoile.

Les arbustes sont désormais en place. Je ne souhaite pas une haie qui clôt l'espace. La disposition des arbustes devra ménager de l'intimité au jardin, tout en laissant passer le soleil au niveau du grand massif arrière, qui lui aussi participera à cacher la vue sur la maison. Ainsi mes futurs voisins conserveront une vue agréable sans pour autant participer à notre vie familiale.

La promiscuité dans un lotissement est bien réelle. Ainsi les contructions, côté est, sont rapprochées ( voir ci-dessus ) .Par bonheur, notre parcelle est en bout de lotissement. Nos voisins, à l'exception d'un, vivent sur de grands terrains. Cela crée un large cordon de nature autour de la maison.

J'ai déplacé un pittosporum tenuifolium à feuillage pourpre jusqu'à l'angle de la haie. Grâce à son feuillage vivace, il obstruera la vue depuis la pièce du séjour du voisin. Je conserverai son port naturel érigé ( 2 mètres de haut, 1 mètre de large ). A sa suite, une haie de quelques mètres de long plantée d'arbousiers, maintenue par la taille à 2 mètres de haut.

Ensuite arrivent 2 autres arbustes à feuillage pourpre : le physocarpus ' Diabolo ' et le cotinus ' Grace ', à feuillage caduc, qui accompagneront les floraisons abricotées et rouges des rosiers-arbustes ( hauteur de 2 mètres souhaitée pour chacun ). Pour l'instant seul le rosier ' Ghislaine de Féligonde ' est en place. Sur le grillage courent des lianes : chèvrefeuilles et passiflore bleue.

 Pour découvrir le massif arrière, il suffit de lire l'article précédent.

La vedette de ce massif est le physocarpus opulifolius ( Physocarpe à feuilles d'obier ) ' Lady in Red '. A cette saison, son feuillage d'un pourpre presque noir répond à la couleur des scabieuses ' Chile Black '. Celles-ci se ressèment spontanément d'année en année. La légèreté est obtenue grace aux floraisons en nuage des sauges arbustives ' Hot Lips ' qui ne sont pas encore maquillées de rouge, et des gauras blancs.

Ce grand capricorne me fait penser à un équidé, bizarre non ?