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Quelle explication à ces anomalies sur les tiges du rosier Iceberg climbing? Est-ce la présence de la cire sur les tiges qui a provoqué ces déformations ? Ou un parasite ? Les recherches effectuées sur le net m'indiquent qu'il s'agit de tumeurs sur les rameaux de rosiers. Elles résultent d'une maladie bactérienne qui affecte la vigueur de la plante.
L'arrachage du rosier-tige semble inévitable afin d'épargner les rosiers voisins.
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Parade des asters. Dans un premier temps, j'ai été séduite par les asters à fleur double, mais cette année j'ai fait l'achat d'asters à fleur simple dont le rose 'Pink star'.
Aster dumosus ' Alice Haslam ' n'est pas rose avec le sol acide, le violet de l'aster dumosus ' A. Kippenberg ' est plus foncé que sur les étiquettes d'achat.
Bruyères à fleurs doubles, anémones du Japon.
Véronique en arbre, rosier ' Coral Babylon Eyes '.
azalée japonaise rouge à feuillage panaché ' Hot Shot ', dahlia Laure Michèle.
Tentative d'introduction d'un pied de penstemon rose ' Souvenir A. Regnier '. S'il résiste à l'hiver, d'autres suivront.
C'est la fin de la saison pour le potager. Le jardin va retourner à un état de dormance.
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Le soleil couchant sur l'océan, bas sur la ligne d'horizon, a éclairé la fin de l'orage par en-dessous. La luminosité extérieure est incroyable ! Le double arc-en-ciel complet est baigné de lumière dorée, mais je n'ai pas assez de recul dans le jardin pour le photographier entièrement car il passe par dessus la maison. On devine au loin les pluies qui s'abattent dans les terres. Ce fut un moment furtif qui valait bien une aurore boréale.
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Les plantes d'intérieur pour moi, c'est " Chronique d'une mort annoncée "... J'ai tenté les plantes grasses. Elles n'ont jamais été aussi belles qu'à l'extérieur pendant la belle saison, lorsqu'elles sont livrées à elles-même, et que je ne leur prodigue aucun soin (destructeur).
Me voilà à la recherche de nouvelles plantes pour décorer l'entrée de la maison. Allez j'essaie les tropicales ! Vivra ou pas ? Puisqu'il semble que j'arrose trop, je choisis des assoiffées originaires d'Amérique centrale : un Anthurium 'Fiorino' et un Rhoeo, les 2 dans un joli dégradé de mauves rosés.
L'entrée est claire, sans soleil direct à l'emplacement choisi. Température au dessus de 20 degrés, facile à respecter. En revanche pour une humidité constante, c'est plus compliqué. Le dimanche soir, douche à l'eau tiède dans la baignoire ( dans les Landes l'eau n'est pas calcaire ), une nuit passée dans cette atmosphère humide sans que cela fasse désordre. Une soucoupe remplie de billes d'argile trempant dans l'eau.
C'est un clin d'oeil à un petit bout de jardin balinais d'Ubud.
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Vraie et fausse chenille : chenille de la noctuelle de la patience et larve de tenthrède de la rave.
Je commence à bien différencier les vraies et fausses chenilles.
La première, joliment colorée et velue, est une vraie chenille. Elle est celle de la noctuelle de la patience ou Cendrée noirâtre ( l'imago est en effet un papillon de nuit gris-noir). Souvent les jolies chenilles donnent naissance à des papillons nocturnes ternes. C'est le cas pour Viminia rumicis.
La seconde est une fausse chenille. Elle est la larve bien noire d'un hyménoptère noir et rose, la tenthrède de la rave ou Athalia rosae. Une cinquantaine de ces ravageurs se régalait d'un parterre de Lobularia maritima (corbeille d'argent) qui est un crucifère (Brassicacées). Je les récolte manuellement et les détruis avant qu'ils ne s'enterrent pour se métamorphoser.
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